Laurent Pernice – Antigone

L’Antigone di Sofocle messo in scena nel 2023 dalla compagnia teatrale Anima Motrix celebra l’eroina tragica che lotta contro l’autorità tirannica a rischio della propria vita, figura simbolica della disobbedienza.
Nella rilettura operata da Emma Gustafsson e Laurent Hatat, il testo scritto e i corpi in movimento si fondono in un unico linguaggio per manifestare la necessità di una resistenza al dominio politico e sociale a cui gli individui sono talvolta sottomessi. Una piéce in cui i gesti e le voci degli attori sul palco si coordinano con le musiche composte da Laurent Pernice, brevi sketch dal vago sentore neoclassico spesso incentrati sulla viola di Violaine Sultan, assai abile nel destreggiarsi sia nei passaggi cameristici (il toccante solo di Tirésias, la struggente malinconia di Ismène à Thèbes) che nei momenti in cui il contrabbasso, lo zither, l’arpa e la tessitura elettronica di Pernice intorbidiscono la materia sonora accentuando la drammaticità della narrazione (il dittico formato da Les Érignies 2 e Là, point de Douleur, così come le cupe distorsioni de La Lutte).

7.3 

Massimiliano Busti (Blow Up) Luglio/Agosto 2024

 

Antigone”, uscito per ADN Records, è il nuovo lavoro di Laurent Pernice, musicista e produttore originario di Marsiglia.
Dopo aver esplorato le potenzialità di diversi strumenti a fiato appartenenti alle tradizioni di tutto il mondo in “Le Corps Utopique”, “Antigone” si fonda sulle sperimentazioni con alcuni strumenti a corda: basso, contrabbasso, cetra da tavolo, arpa, unite a ricami elettronici e alle traiettorie di viola di Violaine Sultan, insegnante al Conservatorio di Marsiglia.
Obiettivo dichiarato del lavoro è quello di raccontare, in musica, la complessità infinita dell’essere umano attraverso l’omonima tragedia di Sofocle, qui scevra da qualsiasi scrittura e dalle parole.
Il viaggio si esaurisce in venti episodi, per una durata complessiva inferiore a un’ora, e nelle sue pieghe emerge un gusto classico che abbraccia l’urgenza di ricerca e sperimentazione, tanto quanto la necessità di conservare un filone narrativo risalente a quasi 2500 anni fa.
Inevitabilmente, la forza di “Antigone” risiede nelle sue atmosfere profondamente evocative e nella sua tecnica compositiva estremamente rara. I picchi di intensità coincidono con “Thème d’Antigone + Son reflet dans l’ombre”, “Ismène à Thèbes” e la conclusiva “Antigone au tombeau”, ma il disco scorre fluido anche nei suoi momenti apparentemente più ostici, somigliando a qualcosa che riesce a superare di molto la somma dei suoi singoli elementi.
Laurent Pernice si conferma artista estremamente raffinato, ma il risultato raggiunto è anche figlio del prezioso contributo di Violaine Sultan.

Piergiuseppe Lippolis (Musicmap)

 

Während mit “Predictability Failure” von Tungu aus Tschernihiw eine überraschend auf­gegangene Saat des ‘Recommended’-Spirits noch nachhallt und mit “Ottomani” und “Gui­tambients” die jahrzehntelange enge Verbindung mit Riccardo Sinigaglia vertieft wurde (BA 123), ‘gebar’ Laurent Pernice mit “Antigone (DNN 039 C) eine weitere Musik aus dem Geist der Tragödie. Die kleine TheaterWerkstatt in Würzburg brachte mit “Die Per­ser” von Aischylos nicht den Triumph der Sieger der Seeschlacht von Salamis, sondern den Schmerz und die Verzweiflung der Geschlagenen auf die Bühne. Pernice beschallte die “Antigone” des Sophokles als getanzte Tragödie der Compagnie Anima Motrix, die das Selbstopfer im Widerstand gegen tyrannische Willkür verknüpft mit Édouard Louis’ “Im Herzen der Gewalt”. Pernice, bekannt durch Palo Alto und die Sonic Fiction mit Alain Damasio und Jacques Barbéri, hat zuvor, ebenfalls mit Anima Motrix, ebenfalls auf ADN, Michel Foucaults Le Corps Utopique (2022) mit außereuropäischen Blasinstrumenten beschallt. Diesmal wählte er Streichinstrumente, spielt zu Violaine Sultan an Viola selber E- & Kontrabass, Zither und Harfe und verband das durch Electronic Treatments. Als bebendes Flimmern und Dröhnen, das Trauer und Schmerz beklemmend vereint mit einer herzzerreißenden Elegie der Bratsche. Pizzicato, schnelle und martialisch stramme Striche, drahtiges Spiccato, hagelige Körnung und gezogene Klangfäden umspinnen den Kampf um Macht, umspinnen Zorn und Trotz, das Recht der Sieger und das der Toten: Polyneikes, der im Bürgerkrieg fiel, Antigone, die sich, lebendig begraben, erhängte, Haimon, Kreons Sohn, und Eurydike, Haimons Mutter, die sich ins Schwert stürzten. Was bleibt, sind Jammer und Schauder, die gleichgültige Sonne, verstaubende Gräber. Und mit Édouard Louis der Versuch, erlittene Gewalt und den inneren Kreon einzufangen. 

Rigobert Dittmann (Bad Alchemy 124)

 

Quite a few scores are written for old (silent) movies, but Laurent Pernice goes further back in time, presenting his score for Sophocles’ Antigone, a play written in 441 BC! This score was written for the play as performed by Anima Motrix, directed by Emma Gustafsson and Laurent Hatat.
Antigone cannot easily be summarised so I simply refer to the Wikipedia page for convenience. Pernice‘s score tells the story in just one hour, in 20 relatively short tracks filled with all kinds of emotions.
Laurent Pernice is no stranger to music: Antigone is his 20th album! For a previous Anima Motrix production (Foucault’s Le Corps Utopique) he focused on wind instruments from all over the world, but this time it’s strings. Pernice plays bass, double bass, zither, and harp, but there’s an important role for Violaine Sultan – a teacher at the Marseille Conservatory of Music, on viola. The acoustic performances are subtly altered by Pernice‘s electronic treatments: ‘the sound of [Sultan’s] instrument, while sometimes very clear and simple, interpreting melodies of a elegant beauty akin to that of classical music, is often turned on its head, slowed down, overdriven, to create textures conducive to the atmosphere of this or that part of the play’.
Obviously the soundtrack score will have extra impact when you have seen the performance, but it definitely speaks for itself too, even without the text of the original play. The music itself ‘takes you on a journey of an absolute tragedy, while revealing the infinite complexity of the human being’.

Ambientblog.net 23.05.2024

 

L’année 2024 va s’avérer extrêmement prolifique pour Laurent Pernice. En effet, pas moins de quatre disques sont prévus. Pour commencer, paru le 19 avril dernier sur le label italien ADN (celui-là même qui a sorti  son disque avec Dominique Beven, Corps Utopique), Antigone est le titre de son nouveau projet. Après Michel Foucault, c’est donc le dramaturge grec Sophocle (495-406 avant J.C.) qui va bénéficier d’un nouveau rayonnement artistique. Antigone a été mis en scène par la Compagnie Anima Motrix avec Laurent Hatat et Emma Gustafsson.  Et Laurent a eu la charge de créer une nouvelle bande sonore.
Sur Corps Utopique, Laurent s’était intéressé aux instruments à vent. Ici, ce sont les instruments à cordes qui ont la lourde responsabilité de proposer une musique digne du texte de Sophocle. Laurent a fait appel au savoir-faire d’une professeure du Conservatoire de musique de Marseille.  Son nom est Violaine Sultan et elle joue du violon alto.  Laurent, en parfait multi-instrumentiste, joue de la basse, de la contrebasse, de la cithare, et même de la harpe, en plus de s’occuper des traitements électroniques.
Musicalement, nous pouvons être assurés que le choix limité de l’instrumentation ne peut que délivrer une ambiance bien particulière, créant un paysage sonore qui se fond avec cette tragédie datant de 441 avant J.C. et sa terrible histoire où les intrigues politiques, l’amour et la mort vont bousculer la vie des personnages principaux.  La musique retranscrit  assez finement tout l’aspect tragique de cette oeuvre et ses questionnements sur la complexité de l’être humain. Le but recherché est sans nul doute de développer des ambiances sombres et dramatiques, intrigantes et mélancoliques tout en privilégiant un certain dépouillement sonore.
En guise de petit rappel, ne vous attendez pas à entendre des envolées progressives avec du mellotron et des guitares électriques flamboyantes ou des rythmes technoïdes entraînants. Le ton général de l’album est donné dès les premières notes du violon, où nous découvrons une musique dénudée de toutes garnitures sonores grandiloquentes.  Le violon à lui seul arrive à créer une tension qui est immédiatement palpable, laissant présager le pire: Antigone et Ismène (prologue), Avant la lutte. Le titre Thème d’Antigone + Son Reflet dans l’ombre, avec une basse au son lourd et menaçant, déambule telle une procession vers un destin à l’horizon funèbre.
Ce disque est aussi et surtout un fabuleux croisement entre le néo-classique, l’ambient, la musique contemporaine et expérimentale. Parmi des expérimentations ténébreuses (certaines pièces auraient convenu à quelques groupes allemands des seventies), nous découvrons des passages mélodiques saisissants (Ismène à Thèbes) et d’autres aux allures plus tempétueuses (La Lutte déploie notamment des ombres crimsoniennes impressionnantes).
C’est cette confrontation constante entre des ambiances de pure réflexion spirituelle ou de mélancolie, et d’autres plus orageuses, appelant à une violence inouïe, qui apporte à cette oeuvre musicale une aura poétique singulière et un intérêt d’écoute exemplaire. Antigone enchaîne des soundscapes imprégnés de mystère et de poésie, où Laurent privilégie la rencontre entre les genres musicaux.
En fait, le travail de Laurent peut trouver une certaine apparenté avec celle de Steven Brown ou de Blaine L. Reininger. Avec eux, il n’y a plus de frontières et le monde musical s’ouvre vers un champs des possibles qui touche à l’universel. La musique prend des formes multiples et, telle une danseuse, voltige au gré des sons et des atmosphères délivrés par les instruments. L’interprétation de la violoniste est intense, marquée par un jeu varié, où les cordes, telles des larmes de malheur, expriment le danger, la colère, le désespoir, la mort.
Certains morceaux respirent la solitude et la tragédie (La Houle en mer, Tirésias) alors que d’autres prophétisent un désastre imminent (La Décision d’un homme). Les superbes effets sonores apportés par Laurent (notamment des sons drones obscurs) sont les bienvenus et essentiels pour accompagner notamment le violon et pour renforcer l’aspect dramatique de l’histoire.
Ce disque est instrumental, à l’exception du douzième titre (Stasimon 1), où apparaît la voix irréelle de Sylvie Debrun qui narre un extrait de Sophocle.
La dernière pièce au titre tristement prémonitoire, Antigone au tombeau, dégage une ambiance des plus mélancoliques lorsque surgit une harpe jouée par Laurent, venant clôturer un disque aventureux et émouvant, jamais ennuyeux.
Laurent Pernice a composé une soundtrack saisissante de réalisme où le vrombissement des nombreuses cordes vibrent tel un coeur qui bat, jusqu’au final où le silence, silhouette glaciale, immuable et implacable, annonce une fin désespérée (les suicides successifs d’Antigone, de son fiancé Hémon et de la mère de ce dernier, Eurydice). La musique, certes pas facile au premier abord, est d’une grande richesse émotionnelle et offre des moments atmosphériques bouleversants.

Cédrick Pesqué (Rythmes-Croises) 9.07.2024

 

Der Theatersoundtrack “Antigone” des französischen Komponisten Laurent Pernice wurde 2022 aufgenommen und erscheint nun als Album. Es handelt es sich um die Musik zu “Antigone” in einer Inszenierung von Emma Gustafsson und Laurent Hatat, die gemeinsam unter dem Namen Anima Motrix arbeiten. Im Gegensatz zu vielen früheren Arbeiten des Komponisten, der seinen Wurzeln im Post Industrial mehr Raum gibt, ist die Musik zu “Antigone” eher klassisch und weltmusikalisch angelegt. So kommen neben diversen Streichinstrumenten wie Bratsche, Zither und Harfe zum Einsatz. Auch die Darstellerinnen und Darsteller des Stücks sind auf dem Soundtrack zu hören.Das knapp 52 Minuten lange Werk beginnt mit einer melancholischen und getragenen elektronischen Einführung, welche von einer Violine versüßt wird. Daraus entsteht zunächst ein sehr klassisches, aber spartanisch arrangierter und getragener Teil, der trotzdem sehr schwebend und wohlig in Moll daherkommt. Nach einem etwas experimentelleren Teil taucht kurz die Violine wieder auf, um dann in einem psychedelisch schwebenden Part zu münden, in dem sehnsuchtsvolle Streicher erklingen, aber auch avantgardistische Klänge auftauchen. Eine bedrohliche Atmosphäre entwickelt sich und trägt den Hörer mit sich.Nachdem diese Atmosphäre langsam im Raum verhallt, erklingt mit “Ismène à Thèbes“ das erste Stück mit wirklichen Songstrukturen. Ein langsamer Bass treibt die perlenden Gitarrenklänge vor sich hin, die im Raum verhallen. Über dieses schon wunderbare Melodiegebilde ergießt sich dann eine herzzerreißend traurige Violinenmelodie in perfekter Symbiose mit den anderen Instrumenten. Jeder Ton hallt durch den Raum, man kann die Musik atmen, einfach wunderschön.Diese wunderschönen Klänge werden dann von harscheren, ja durchaus Industrial-beeinflussten Klängen von “La Lutte“ gebrochen. Doch auch hier steigt im zweiten Teil die Violine wieder mit dem Grundthema ein und passt sich so perfekt in den Flow des Albums ein. “Les Érignies 1” hingegen ist dann ein kleines, ja kakophonisches aber nicht Ohrenfell zerreißendes Intermezzo, das dann in wieder elektronischere, schwebende Klänge einführt, die in Form von “La Punition des Dieux” auftauchen.
Dieses Wechselbad der Stimmungen und Gefühle wirkt über das ganze Album. Es tauchen auch wieder mehr songorientierte Stücke auf, es gibt schwebende, experimentelle und einfach bittersüße Streicherklänge und so wird der Hörer immer wieder in andere Facetten des im Grundton melancholischen Werkes getragen. Das Album überzeugt neben dem instrumentalen Können der Beteiligten und dem hervorragenden Arrangement durch seine erstklassige Klangqualität. Wie eben schon beschrieben, kann man die Klänge und Musik regelrecht atmen. Ein wunderbares Album zwischen Klassik, Ambient, ein wenig Industrial und moderner Komposition zum Augenschließen und Träumen.

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Released via ADN Records on April 19th, 2024 is “Antigone“, Laurent Pernice‘s soundtrack to the antique Greek play by Sophocles as it was directed by Emma Gustafson and Laurent Hatat. With Pernice taking on a whole plethora of instruments including bass, double bass, zither and harp as well as what is described as ‘electronic treatments’ alongside Violaine Sultan‘s major contributions on viola the entire album caters a menu of twenty pieces rolled out over a total playtime of 53 minutes, sitting somewhere in between the sole functionality of a score and the creative approach of an artist album with ethereal, reverberating Deep Listening Music-leaning cuts like “Antigone Et Ismene (Prologue)” followed by the Classical-informed elegiac nocturnal beauty of “Theme d’Antigone + Son Reflet Dans L’Ombre” whereas pieces like “La Colere De Creon” explore slow moving droning string harmonics, “Ismena A Thebes” even touches base with what was once defined as PopAmbient by the crew of Cologne’s Kompakt record store, despite being presented here in a fashion which naturally gravitates more towards the Classical / (Neo)Classical side of the musical spectrum. Furthermore “La Lutte” takes on a more dramatic, brooding and somewhat Industrial inspired form, “Stasimon 1” even introduces Spoken Word atop brittle and icey electronic textures whereas the earth-shaking tonality of “La Decision d’Un Homme” seems to directly emerge from humungous subsurface vaults and so do the DarkAmbient-informed soundwaves of “A Bord De L’Acheron + L’Arrive Du Garde” whereas “Une Fine Poussiere Le Recouvrait“, as well as the cascading closing cut “Antigone Au Tombeau“, even seems to dabble with rural and folksy atmospheres just to name a few. Quite an interesting and diverse journey, this.

baze.djunkiii (Nitestylez.de) 8.06.2024

La pièce de Sophocle aura inspiré des tas d’artistes et, après l’album culte de Clair Obscur au milieu des années 1990, c’est Laurent Pernice, vétéran des musiques cold, indus et expérimentales, qui nous livre un disque d’une beauté intemporelle, dark et mélancolique, portée par les cordes et des traitements électroniques envoûtants. Rassemblée en une vingtaine de pièces sonores de durées variées, cette bande originale accompagne au départ le spectacle d’Emma Gustafsson et Laurent Hatat mais peut fonctionner en toute autonomie et se révèle être l’une des plus grandes réussites du compositeur. L’alliance de la viole, du cithare, de la harpe et de la contrebasse créent déjà une communication hypnotique entre les instruments, puis leurs traitements par divers effets électroniques n’est pas sans évoquer la profondeur chimérique et les textures oniriques et angoissées d’un Tim Hecker.
L’album se partage ainsi entre des morceaux d’une douceur évanescente, fragile et lumineuse (“Ismène à Thèbes“, “Thème d’Antigone + Son reflet dans l’ombre“) et des pièces plus cinématographiques et inquiétantes (“Avant la lutte“, “La Houle en Mer“), renvoyant parfois au concept des “musiques immobiles” que Pernice avait lancé au début des années 1990, pas loin du drone et du dark ambient (“La Colère de Créon“, “Là, point de Douleur“). Il y a bien sûr une dimension très dramatique (“La Lutte“, “La Punition des Dieux“) qui doit sûrement porter la pièce de théâtre sur laquelle ces compositions s’appuient (le spoken word sur “Stasimon 1“) mais le calme oriental et halluciné de l’ensemble nous plonge déjà dans un univers immersif et paralysant de beauté. La poésie de Pernice, qui officie par ailleurs dans le projet expérimental Palo Alto, n’est pas sans rappeler les derniers albums de Denis Frajerman, avec leur mélange de folklore des Balkans, d’arrangements de cordes, de basses cold et d’arpèges incandescents (“Une fine Poussière le recouvrait“). Le périple s’achève sur un titre plus long, poignant et porté par une harpe ensorcelante (“Antigone au Tombeau“), qui nous donne juste envie de reprendre l’écoute dès le début.
Une totale réussite, étrangement accessible, qui ne peut qu’inciter à fouiller plus avant dans l’œuvre d’un musicien pas encore considéré à sa juste valeur.

Max Lachaud (Obsküre) 15.06.2024

ADN